Le regard des hommes
Du temps que j’étais belle (bonjour Ronsard), le regard des hommes m’épuisait. Qui en moi était flatté et meurtri à la fois par cette convoitise et ces projections ? Passés cinquante ans, plus de phéromones, semble-t-il (ou quel que soit leur nom), et me voilà revêtue du manteau d’invisibilité. Un vrai conte de fées.