Les ennuis, les soucis, les tragédies

Publié le par Marie Giral

Les ennuis, les soucis, les tragédies

 

Ils vous prennent la tête, et vous oubliez votre cœur, votre raison dêtre au monde. Plus de sentiment de joie, ni de paix. 

Daucuns craignent des invasions, des empiètements sur leur culture, leur pays, mais ces phénomènes commencent chez moi, en moi.

Il me vient cette image des Moscovites qui chaque matin balayent tout en douceur leur voiture enneigée. Une petite balayette suffit, le geste est souple. Pas de bazookas, de mur, de Mig, ou de mirage. Voilà, laffaire est faite, et comme les véhicules sont équipés dune batterie à déclenchement automatique lorsque le fond de lair descend au-dessous dune certaine température, ils entrent dans leur voiture et démarrent tranquillement.

Mes contrariétés, ce qui va à mon encontre, ce que je nai pas souhaité durent 3 heures, 3 jours, 3 semaines, 3 ans.

Ensuite, retrouver la vie.

 

* Le tableau est de Pavel Filonov, peintre soviétique longtemps interdit dans son pays. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans Se connaître

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